Les chiffres de Kaktovik, aussi appelés chiffres iñupiaqs ou système de numération de Kaktovik, sont un à base 20 créé par les Iñupiat d'Alaska. C'est un système formé de symboles iconiques, avec des formes qui indiquent quel nombre est représenté.
Le film a été tourné avec un budget modeste, comparé à d’autres films de même envergure, grâce à l’utilisation de techniques de guérilla, de caméras légères et de décors naturels. Le cinéma de guérilla, ou cinéma guérilla, désigne des films produits sans ou avec très peu d'argent par des équipes très petites filmant avec des équipements légers et, dans la plupart des cas, utilisant des accessoires fabriqués à partir de tout ce qui est à portée de main. On tourne vite en lieux privés ou publics sans autorisation. Le cinéma de guérilla est en règle générale pratiqué par des cinéastes indépendants qui ne peuvent pas travailler avec des budgets confortables ni construire des décors coûteux.
Edwards a ensuite fait appel à Industrial Light and Magic pour ajouter les éléments de science-fiction, comme les robots, les explosions et les effets spéciaux. Le résultat est un film spectaculaire, qui mêle action, émotion et réflexion sur la nature de l’humanité et de l’IA.
Le début du clip commence par ces mots :
"Le système mis en place dans notre monde libre repose sur l'accord tacite d'une sorte de contrat passé avec chacun d'entre nous dont voici, dans les grandes lignes, le contenu.
Voici le contrat que vous signez par tacite reconduction chaque matin en vous réveillant simplement et ne faisant rien"
la HEAR dispense des enseignements supérieurs (bac + 3 à bac + 5) en arts plastiques (Art, Art-Objet, Communication
graphique, Design, Design textile, Didactique visuelle et Scénographie) et musique (musique classique, ancienne et contemporaine, jazz et musiques improvisées). Implantée à Mulhouse et Strasbourg, elle prépare ses étudiants à devenir des créateurs, auteurs et musiciens autonomes,
capables d’inventer des langages artistiques.